*big blush*
Fri September 4, 2009 @ 17:53 |Je ne sais plus où me mettre. J’écrirais “des articles toujours pertinents et amusants“, moi ?! Je ne pensais pas que mon petit ouèbcarnet confidentiel méritait un tel compliment. Surtout venant de Manivelle, la pro des billets qui tuent et l’illustre auteur de la grandiose série des “Sébastien”.
Bref, merci miss… je me permets d’exhiber mon prix, hein.
Mais tu me mets face à un énôôôrme dilemme en me demandant de citer mes cinq blogs préférés… en fait, ceux que je lis régulièrement sont référencés sur votre droite. Certains sont en stand-by, mais leurs auteurs sont tous des gens que je connais et apprécie, donc je serais bien en peine d’extraire une liste des “meilleurs”. Comme à l’École des fans, ils sont tous meilleurs, évidemment.
Alors je vais me contenter de faire de la pub pour un blog que je suis depuis peu, mais dont je ne connais pas personnellement l’auteur : A Cup of Tim – 3615 Ma Life avec des Feutres. J’adore le style graphique, et certaines scènes de bureau sont à pleurer.
Euh voilà. Comme d’hab, j’ai l’impression de ne pas avoir réussi à faire comme les autres. Désolée.
J’aurais plutôt dit que tu as réussi à ne pas faire comme les autres. C’est plutpôt chouette, j’trouve…
Thomas, je t’aime. 🙂
Le problème, c’est que je ne le fais pas vraiment exprès. Une réussite sans effort, ça n’a pas la même saveur.
Ça pourrait paraître particulièrement hypocrite en plus. “Ah ah, elle veut pas vexer ses potes, trop l’esquive la meuf !”, mais même pas. Je ne suis juste pas forcément objective quand je lis vos proses…
Ne pas faire comme les autres en ayant l’impression de ne même pas le faire exprès, c’est peut-être tout bonnement ce qui arrive quand on a accompli des efforts méritoires pour arriver à ce stade où la réussite semble naturelle et spontanée.
Après les chatons et les bons élèves, peut-être tout simplement es-tu toi-même devenue un miracle ? 🙂
Bruno, toi aussi je t’aime. 🙂
Hélas, le miracle n’a pas eu lieu lundi, pour ma première journée toute seule face aux 27 énergumènes… après une nuit écourtée par les préparations et une petite gastro, je suis arrivée épuisée à l’école, et repartie 11h plus tard dans un état difficile à décrire, mais du genre lamentable et sans voix.
J’ai des progrès à faire, visiblement.