Supercalifragilisticexpialidocious

Sat January 2, 2016 @ 15:34 |

2016, le 2 janvier : je viens de regarder “Mary Poppins“, le classique de Walt Disney, pour la toute première fois. Et probablement pour la dernière fois aussi.

Parce que, euh, comment dire.

Intéressant, difficile de dire le contraire. Indescriptible, oui. Et je peux maintenant dire que je l’ai vu.

Ah, si ! J’ai appris une nouvelle insulte pour envoyer chier les importuns: “Go fly a kite!”.

Mouais, ça passe moins bien en français, “Va faire voler un cerf-volant!”.

Et je vais me répéter le mot magique : Super-cali-fragilistic-expiali-docious. Il me sortira sûrement de tout un tas de situations inconfortables. Ou au moins, ça me défoulera.

Hier soir heureusement, je me suis refait une séance de A Home at the End of the World. Un ovni que je continue de trouver magnifique.

Et maintenant, la suite du grand ménage du Nouvel An…

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2 commentaires à “Supercalifragilisticexpialidocious”

  1. Tu devrais essayer cette version : https://www.youtube.com/watch?v=iU2hy0L5lgg 🙂

    Perso, je continue à beaucoup aimer Mary Poppins, essentiellement pour les voyages dans les dessins… Je m’étais même inspiré de ce procédé (que j’avais d’ailleurs, dans mon scénario, nommé “l’effet Mary Poppins”) pour un des éléments de “Showergate” qui n’a finalement jamais été vraiment exploité, du seul (stupide) fait que la série n’a compté qu’un seul tome : le tableau que le peintre peignait dans chaque album était une porte ouverte sur l’épisode suivant. Faudra que je réutilise ce truc un jour… 😉

  2. Nadine says:

    Ah, en effet, elle me plaît bien cette version. 😉

    Oui, certaines idées sont intéressantes au niveau de la réalisation, et elles ont probablement inspiré pas mal de gens, même si ça a bien vieilli.

    Mais j’ai franchement eu du mal avec les personnages, ni convaincants ni attachants. Notamment Poppins qui me fait froid dans le dos, entre ses discours moralisateurs et ses sourires forcés. Elle m’a fait penser au clown de “Ça” alors qu’elle est censée être la gentille héroïne qui sauve le monde… Je ne m’attendais juste pas à ce vide émotionnel, je crois !


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