Wiiiiiiiiiiiiiizzzzzzz
Sat April 9, 2011 @ 22:23 |Si je me suis retrouvée à titiller de près les ordinateurs pendant un certain temps, c’est en partie à cause du “Plan informatique pour tous” qui a doté mon école et mon collège d’un merveilleux nanoréseau de MO5, de ma famille au top de la technologie, mais aussi d’une série télé des années 80 qui m’a beaucoup marquée: “Les petits génies”. Whiz kids pour les intimes.
J’ai gardé en tête cet ado à grosses lunettes capable de tout avec son matos de folie. Surtout de tchater avec le monde entier. Ça m’avait tellement marquée que, quelques années plus tard, j’en ai pas cru pas mes yeux quand j’ai vu mes potes lancer IRC sur nos antiques consoles Bull… hé, mon rêve de petite fille!
Je viens enfin de mettre la main sur une version originale de l’unique saison de cette fameuse série. De la réplique “I’m not a nerd, I’m a hacker. Pretty awesome huh?” au poster “Murphy’s laws on technology”, en passant par la boîte de disquettes 5″¼, la voix phénoménale de l’ordinateur RALF, les remerciements aux fabricants de l’époque ou la reconnaissance de visages ultra-pixelisée, je m’éclate. Les scénaristes aussi ont dû bien s’amuser, même si les histoires ne volent pas bien haut, faut être honnête.
Bref, cultissime.
J’aimais bien aussi cette série.
Mais dis donc, je viens d’avoir une révélation : le personnage principal avec les lunettes est Albert de la petite maison dans la prairie… J’avais pas fait le lien avant. Faut dire, je ne l’ai pas reconnu l’un sur son chariot avec ses culottes courtes contre, l’autre avec ses lunettes devant son ordi !
Bon j’arrête mes commentaires.
Bon courage.
Mélanie
Hé oui, c’est Albert avec des lunettes de geek des années folles. 😉
Rhâaaaa, oui, j’me souviens !
Damned, ça fait un bail…
Moi j’ai même pas eu droit aux MO5 à l’école, j’étais déjà trop vieux j’crois bien. 🙁
En revanche, dans l’école d’art où je suis rentré ensuite, ils étaient à la pointe de la haute technologie : c’était la première année où il était question d'”infographie” et où on avait deux heures par semaine sur Amiga 500 (on devait être huit par machine, genre).
Ah, c’était le bon temps, tiens. 🙂