La plaie de l’île
Tue November 17, 2009 @ 18:19 |Non, ce n’est pas la chaleur de l’été austral. Ni les cyclones dévastateurs. Ni les éclats brutaux de la Fournaise. Ni même le manque intolérable de représentants d’un archipel dont je tairais le nom. Non, la véritable tare de ce bout de terre perdu dans l’Océan Indien, ce sont les embouteillages. J’vous jure, on se croirait en région parisienne, la grisaille en moins.
Perdre du temps dans les transports m’horrifie presque autant que de perdre du temps à repasser. Alors, comme pour le repassage, j’évite au maximum les déplacements boulot-dodo. Depuis quelques années, je m’en tire pas trop mal : 10mn à pied à Paris, 20mn de taxi à Bangkok, 20mn de métro à Tokyo, 10mn de tram à Grenoble. Bientôt, ça ne sera plus que 10mn à pied de l’IUFM.
Pour environ 15mn de repassage en 10 ans (oui oui, au total).
Ah, pour connaître l’état du trafic local, on n’écoute pas Bison Futé mais Ti Tangue Futé. Bah ouais.